Image d'archéologie - iconothèque de l'Inrapiconothèque de l'Institut national de recherches archéologiques préventives

Fouille de la Place de la Libération à Troyes (Aube)

  • Réf. iconothèque

    1842
  • Fouille :

    Place de la Libération, Troyes, Aube, Grand Est
  • Mur et contrefort de la tour de l'église Notre-Dame-aux-Nonnains, première moitié du XIe s., Troyes (Aube), 2004-2008.  A la base de l'élévation du contrefort, on observe plusieurs assises de moellons de craie. Au deuxième plan, les assises sont constituées par des plaquettes débitées dans des sarcophages probablement antiques. Ces derniers ont été découpés afin de conserver au moins un angle de la cuve, créant ainsi un pseudo-grand appareil.   Photo publiée dans le numéro 29 de la revue de l'Inrap <a class= rte-link-ext  href= http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/
  • Fouille du cimetière paroissial de l'église Saint-Jacques-aux-Nonnains à Troyes (Aube), 2004-2005.  Environ 2000 sépultures, couvrant une période d'inhumation de neuf siècles (Xe-XVIIIe s.), ont été étudiées : il s'agit d'un des plus grands cimetières urbains jamais fouillés en France. Au premier et à l'arrière plan on observe les murs de la seconde Halle au blé construite au XIXe s.
  • Le cimetière paroissial de l'église Saint-Jacques-aux-Nonnains à Troyes (Aube) en cours de fouille, 2004-2005.  La fouille s'est déroulée sur une surface d'environ 2500 m2 dans le cœur historique de Troyes. A l'arrière plan on peut observer la collégiale Saint-Urbain érigée au XIIIe s.
  •   Un des piliers semi-engagés de la chapelle souterraine de l'église Saint-Jacques-aux-Nonnains (début du XIIIe s.), Troyes (Aube), 2004-2005.La chapelle souterraine abrite des sépultures privilégiées. Les modes d'inhumation et les pratiques funéraires sont multiples : coffrage maçonné, sarcophage, cercueil, tombe individuelle ou collective...
  • Le caveau funéraire nord (XVIe-XVIIe s.) de l'église Saint-Jacques-aux-Nonnains à Troyes (Aube), 2004-2005.
  • Le caveau funéraire sud (XVIe-XVIIe s.) de l'église Saint-Jacques-aux-Nonnains à Troyes (Aube), 2004-2005.  Près de 160 individus y ont été enterrés. Toutes les classes d'âge sont représentées, avec une espérance de vie moyenne de 28 ans.
  • Bassin de décantation rectangulaire en bois à fonction artisanale (métiers du cuir ou du textile), milieu du Ier s. de notre ère, Troyes (Aube), 2004-2005.  Plusieurs bassins de ce type ont été découverts par la fouille, la plupart alimentés en eau par un réseau de canaux : des structures artisanales s'implantent au début de notre ère dans une zone alors marécageuse.
  • Structure excavée et boisée à fonction probablement artisanale (travail du textile ou du cuir), réutilisée comme dépotoir, milieu du Ier s. de notre ère, Troyes (Aube), 2004-2005.
  • Au premier plan on observe un bassin en bois à fonction artisanale (métiers du cuir ou du textile) daté du milieu du Ier s. de notre ère. Au second plan apparaissent en coupe les niveaux d'occupation postérieurs. Place de la Libération, Troyes (Aube), 2004-2005.  Dans la seconde moitié du Ier s. de notre ère, le terrain est exhaussé et le site perd sa vocation artisanale. Une domus est érigée et sera agrandie progressivement jusqu'au début du IIIe s.
  • Fragments d'enduits peints gallo-romains provenant d'une domus, milieu du Ier s. de notre ère, Troyes (Aube), 2004-2005.  Les pièces d'habitation du premier niveau de la domus sont délimitées par des fondations en pierre calcaire, en silex et en brique, sur lesquelles sont édifiées des élévations en pan de bois recouvertes d'enduits peints.
  • Dégagement de bois (planche, madrier, rondin) déposés ou effondrés dans un fossé, Ier s. de notre ère, Troyes (Aube), 2004-2005.  L'aménagement d'une zone artisanale en milieu humide au début de notre ère entraîne la construction d'une berge en bois et pierre ainsi que de nombreuses structures artisanales en bois (bassins de décantation, puits...).
  • Nettoyage et dégagement d'un ossuaire attribué à la période moderne, XVIe-XVIIe s., Troyes (Aube), 2004-2005.  Un ensemble de caveaux funéraires abritant de très nombreuses sépultures a été mis au jour sous le  beau portail  (une avant-nef, construite au début du XVIe s.) de l'église Saint-Jacques-aux-Nonnains.
  • Préparation de la prise de vue de planches en bois, début du Ier s. de notre ère, Troyes (Aube), 2004-2005.  Au début de notre ère, une zone d'activité artisanale s'installe et se développe dans un milieu marécageux, ce qui a favorisé la conservation de nombreux éléments organiques.
  • Structures artisanales (bassin) et aménagements (puits, fosse-dépotoir) cuvelés de bois, prévus pour le travail du cuir ou du textile, milieu du Ier s. de notre ère, Troyes (Aube), 2004-2005.  A l'époque augustéenne, une zone d'activité artisanale s'implante sur le site qui est caractérisé par un milieu marécageux. La plupart de ces structures sont alimentées par un réseau de canaux.
  • Moules de cloches en argile retrouvés in situ, dans leur fosse de fabrication (XIe-XIIe s.), Troyes (Aube), 2004-2005.  Une église abbatiale et cémétériale préromane érigée au Xe s. est agrandie au XIe s. : la nef est alors refaite et abrite une fosse de fabrication de moules à cloche. La taille et la composition des cloches ont pu être étudiées : une  archéologie du son  peut dès lors être envisagée.
  •   Détail du secteur méridional du chantier de la place de la Libération à Troyes (Aube), 2004-2005. Au premier plan : des vestiges gallo-romains (Ier-IIe s.) ; au deuxième plan : les fondations du mur sud (face externe) de la chapelle souterraine, édifiée au XIe s. ; à troisième plan : la chapelle souterraine.
  • Vue générale de la fouille de la place de la Libération à Troyes (Aube) ,2004.  L'intervention a porté sur une surface d'environ 2500 m2 en plein centre-ville de Troyes, entre août 2004 et mars 2006.
Mur et contrefort de la tour de l'église Notre-Dame-aux-Nonnains, première moitié du XIe s., Troyes (Aube), 2004-2008.  A la base de l'élévation du contrefort, on observe plusieurs assises de moellons de craie. Au deuxième plan, les assises sont constituées par des plaquettes débitées dans des sarcophages probablement antiques. Ces derniers ont été découpés afin de conserver au moins un angle de la cuve, créant ainsi un pseudo-grand appareil.   Photo publiée dans le numéro 29 de la revue de l'Inrap <a class= rte-link-ext  href= http://www.inrap.fr/archeologie-preventive/
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